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Congo-Brazzaville : Opération séduction pour attirer des investisseurs internationaux

Dernière mise à jour : 24 févr.


Le premier ministre de la République du Congo, Anatole Collinet Makosso, et plusieurs membres de son gouvernement étaient réunis le 26 Août dernier au siège de la Chambre de Commerce et d’Industrie de la région Paris - Île-de-France (CCI Paris Île-de-France) pour promouvoir l'attractivité économique de leur pays. Le webzine CEO Afrique, qui a assisté à la conférence, vous relate les moments forts de cet événement.


Pointe-Noire, capitale économique du Congo



« [ ... ] Nous sommes liés à la France par l’importance de ses investissements directs en République du Congo, qui ont non seulement gardé leur niveau, mais qui ont aussi le potentiel de se développer davantage. En reconnaissance de cela, nous avons choisi de venir ici à Paris pour nous adresser aux chefs d’entreprise, de telle sorte que le partage des bonnes pratiques, la coopération internationale et le développement des affaires puissent s’intensifier ».


Par ces mots dans le chapitre introductif de son discours, le chef du gouvernement congolais, Anatole Collinet Makosso, accompagné d’un bon nombre de ses ministres (ministre des zones économiques spéciales et de la diversification économique, ministre de la coopération internationale et de la promotion du partenariat public/privé, ministre du développement industriel et de la promotion du secteur privé etc ..), a tenu à transmettre un message clair devant son auditoire, dans l’enceinte de la CCI Paris Île-de-France : relancer l’économie nationale, dynamiser l'implantation d'entreprises étrangères, acquérir une bonne réputation auprès des investisseurs internationaux etc ...


Lors d’un récent webinaire organisé par le Comité d'Echanges Afrique-France (CEAF), des représentants du syndicat patronal UNICONGO (Union patronale et interprofessionnelle du Congo) et des Conseillers du commerce extérieur (CCEF) avaient lancé un cri d’alarme : Le Congo-Brazzaville perd de plus en plus en attractivité et peine à séduire les états-majors des multinationales. Le poids des prélèvements fiscaux, le "harcèlement" administratif dont les PME issus du secteur formel, ainsi que le coûts exorbitants et les longs délais de création d’une entreprise, figurent parmi les facteurs explicatifs de ce désamour avec les investisseurs étrangers.

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